Week-End Entre "Amis" - Partie 2 : La Baignoire Et Le Lit

Chez mon ami Loïc, la salle de bain est grande, la baignoire est même proportionnelle. J’ai quand même tenu à y aller tout seul, sans lui. Loïc ira dans la salle de bain annexée à sa chambre. L’eau est bien chaude, allongé dedans, je me sens bien, je me repose. Je pense à ce qu’on vient de faire dans la piscine, et je me demande si c’est réellement arrivé. Tout d’un coup, j’entends dans la maison mon prénom. « Gaëtan … aaaah ouiii … » Loïc se masturbait en pensant à moi, il faisait exprès de le crier fort pour que je m’en rende compte. Ça m’excitait, bien évidemment. J’ai donc décidé de répliquer en commençant également à me donner la joie tout en criant son nom. Après tout on s’en fout, on est seul dans la maison. Lorsque j’ai fini mon travail, Loïc ne criait plus non plus.

Je l’attendais dans le lit, tout nu, calme. Quand il arriva, il était en peignoir. Je me suis demandé si on allait le faire ou s’il était trop fatigué de la piscine et du bain. Je m’approchai moi-même de lui et lui enleva son habit, remarquant avec joie son érection. Un roulage de pelle, puis je commençai à descendre tout en léchant son corps : son menton, son coup, son torse en passant par les deux tétons, son nombril. Lui me caressait les cheveux, j’aimais bien. Puis, son sexe se dressa devant moi, il était ni trop grand ni trop petit, ni trop gros ni trop mince, je le trouvais parfait. Je l’ai d’abord léché, doucement, de bas en haut, pour ensuite le mettre en bouche.

Je fis de lents va-et-vient, lui commençait déjà à émettre des bruits. Son sexe avait un bon gout, tout en le suçant, je le léchais, comme une glace. J’accélérais mes mouvements à en avoir mal à la tête que Loïc tenait par les cheveux. Il avait bon. Jusqu’au moment où j’ai remarqué qu’il n’allait plus tenir, je me suis enlevé et je l’ai masturbé jusqu’à ce qu’il éjacule sur mon visage. Il y a eu beaucoup de jets, et j’essayais que tout mon visage en reçoive.

Après m’être essuyé le visage avec son peignoir, Loïc se mit à 4 pattes sur le lit.

J’ai compris que c’était à mon tour de l’enculer. Je lui ai lécher son anus, pour que je rentre plus facilement. C’est moins dégueulasse que je ne me l’étais imaginé. Puis je me suis redressé et j’ai inséré mon sexe dans son cul, facilement, ses contours s’adaptaient sans problème à mon pénis pourtant grand (Loïc en est jaloux, il me dit que je pourrais être acteur de porno avec). Comme pour la fellation, j’ai commencé lentement, et lui jouissait, pas trop fort, tout comme moi.

Après 5 minutes de douceur, où je l’enculais doucement, je lui faisais des suçons sur le coup, je lui massais le dos, j’ai décidé d’accélérer les choses. Mes va-et-vient se firent plus fréquent, plus courts. Et à Loïc d’en profiter, de jouir fort, de crier mon nom tellement fort que je me demandais s’il n’allait pas se casser les cordes vocales. Je pense que je n’ai pas tenu longtemps, mais mon éjaculation fut longue, bonne, jouissif, comme a l’air d’exprimer Loïc.

On s’est effondré l’un sur l’autre, Loïc s’est retourné pour être face à moi, pour m’embrasser, pour que l’on se serre dans nos bras. Je ne sais plus à quel moment on s’est endormi, mais au réveil, on était toujours dans cette position, et toujours en érection.